Lors du dernier salon de l’automobile à Genève, la nouvelle R5 électrique de Renault a capté l’attention, positionnant la marque à l’avant-garde de l’innovation automobile.
Cette version moderni- sée de l’emblématique R5, désormais électrique, marque l’ambition de Re- nault de tirer son épingle du jeu dans le marché en expansion des véhicules électriques. Son accueil enthousiaste par le public et les experts souligne l’en- gouement général pour ce modèle, dont les pre- mières unités seront livrées en fin d’année.
Renault ne s’arrête pas là; une série d’événements à travers la France est pré- vue pour stimuler l’intérêt, incluant une exposition au centre Georges Pom- pidou à Paris. Avec une ouverture des commandes prévue en mai prochain et un prix de départ annoncé autour de 25.000 euros hors bonus écologique, la R5, qui bénéficie de 300 km d’autonomie, constitue une pierre angulaire de la stratégie de Renault visant à consolider sa présence sur le segment électrique.
Face à une concurrence accrue, Renault envisage en outre d’innover dans ses offres, notamment par l’introduction de batteries moins coûteuses, dans le but de diversifier son éventail de prix sans sacri- fier sa marge.
Toutefois et ce, malgré l’enthousiasme manifeste suscité par sa nouvelle R5, les chiffres de pro- duction envisagés par Renault – 25.000 uni- tés pour cette année et 90.000 d’ici 2025, semblent témoigner d’une approche (trop ?) prudente, voire ré- servée, de la part de l’entreprise, au regard des grands défis qui at- tendent l’industrie auto- mobile mondiale.
